Le parquet a ouvert une enquête sur la mort « non naturelle » de Moustapha Ba. Le dossier a été confié à la DIC. Mais depuis lors, l’enquête piétine.
Mais depuis lors, c’est l’omerta. Aussi bien du côté de la famille, des autorités administratives que judiciaires, aucun élément nouveau n’a été porté sur la place publique. Même si les supputations n’ont presque jamais cessé.
L’enquête est au ralenti. La raison ? Les Échos croit savoir que la faute n’incombe pas aux enquêteurs. Ces derniers auraient, d’après des sources du journal, accompli les premiers actes qui étaient de leur ressort, notamment en interrogeant certains proches du défunt dont sa veuve. Ils attendraient le signal du maître des poursuites pour passer à la vitesse supérieure.
«L’on nous apprend que Ibrahima Ndoye a fait une commission rogatoire internationale en France dont il attend l’exécution», informe Les Échos. Qui parie que «dès qu’il aura les résultats de cette commission rogatoire internationale, il pourra poursuivre les investigations et même ouvrir une information judiciaire en confiant le dossier à un juge d’instruction».
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