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Le texte adopté par l’Assemblée nationale début avril aurait permis de juger les crimes de tortures, assassinats et meurtres, que couvrait la loi d’amnistie initiale, votée sous l’ancien président Macky Sall. Mais le Conseil constitutionnel en a décidé autrement.
C’est un camouflet pour la majorité présidentielle au Sénégal et son chef Ousmane Sonko. Dans une décision rendue ce 23 avril, le Conseil constitutionnel a invalidé la loi interprétative votée au début du mois par les députés du parti des Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), qui dispose d’une majorité écrasante à l’Assemblée nationale, la jugeant non
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